Perte de cheveux chez la femme : comprendre les causes pour mieux agir

 La perte de cheveux chez la femme est une réalité fréquente mais souvent minimisée. Près de 40 % des femmes après 35 ans en souffrent, et ce chiffre grimpe à plus de 60 % à l’approche de la ménopause
Au-delà de l’aspect esthétique, les conséquences psychologiques sont lourdes : baisse de confiance, anxiété sociale, sentiment de perte de féminité. Pourtant, la recherche scientifique a montré que les follicules pileux restent actifs mais “endormis” dans la majorité des cas. La clé est donc de savoir comment les réactiver.
 

Comprendre les causes pour agir efficacement

Le cycle de vie du cheveu suit trois phases : anagène (croissance, jusqu’à 6 ans), catagène (transition, 2 à 3 semaines) et télogène (repos et chute, 2 à 4 mois). Normalement, 85 % de nos cheveux sont en croissance active. Lorsqu’un dérèglement intervient, une proportion croissante de follicules bascule prématurément en télogène, entraînant une perte visible et diffuse.
 

Parmi les facteurs principaux :

- Hormones : l’effluvium post-partum touche jusqu’à 50 % des femmes après un accouchement, lié à la chute brutale d’œstrogènes. À la ménopause, la baisse hormonale couplée à l’excès relatif d’androgènes favorise la miniaturisation folliculaire.

- Stress et cortisol : des niveaux élevés de cortisol raccourcissent la phase de croissance et induisent une inflammation micro-locale autour du follicule.

- Carences nutritionnelles : le fer, le zinc, la vitamine D et les vitamines B sont essentiels à la division cellulaire et à la production de kératine. Même une ferritine inférieure à 40 ng/mL est corrélée à un amincissement notable.

- Vieillissement naturel : la densité folliculaire passe de 600 follicules/cm² à 25 ans à environ 400/cm² après 60 ans.
 

Pourquoi agir tôt change tout

Les dermatologues insistent sur la notion de fenêtre thérapeutique. Tant que le follicule n’est pas totalement atrophié, il reste possible de relancer sa croissance. Au-delà d’un certain stade, l’activité est définitivement perdue et seules les solutions chirurgicales demeurent. Autrement dit, chaque mois compte lorsqu’on observe un affinement capillaire.
 

C’est là que la technologie de micro-infusion s’impose comme une approche décisive.

 

Novalia Derma : une action ciblée à la racine

Les solutions classiques présentent toutes des limites :

- les compléments alimentaires agissent lentement et de manière indirecte ;

- les lotions topiques ont un taux de pénétration cutanée inférieur à 5 %, ce qui limite leur efficacité ;

- les traitements médicamenteux type minoxidil ou anti-androgènes s’accompagnent souvent d’effets secondaires indésirables ;

- les greffes capillaires représentent un coût élevé et ne sont pas adaptées à toutes les femmes.

 

Novalia Derma a été conçu pour dépasser ces limites.
Son système exclusif de micro-infusions cutanées permet de :

- Stimuler mécaniquement la microcirculation sanguine, favorisant l’apport d’oxygène et de nutriments directement au follicule,

- Créer des micro-canaux épidermiques qui multiplient par jusqu’à 3 à 5 fois la pénétration des actifs par rapport à une application classique, 
- Libérer un sérum riche en peptides biomimétiques, vitamines et extraits végétaux scientifiquement validés pour prolonger la phase anagène et réduire la phase télogène,

- Réduire l’inflammation locale, souvent invisible mais destructrice pour la longévité du follicule.
 

Des études sur des dispositifs similaires ont montré une augmentation de densité capillaire de 18 à 25 % en 3 mois d’utilisation régulière. Novalia Derma applique ces mêmes principes avec une formulation spécifiquement pensée pour les femmes.

 

Un protocole pensé pour la régularité et la sécurité

Chaque utilisation de Novalia Derma ne prend que quelques minutes, sans douleur et directement à domicile. Contrairement aux traitements médicamenteux, il n’expose pas à d’effets systémiques et peut être intégré facilement à une routine de soin capillaire.

 

Son efficacité repose sur la régularité : en stimulant en continu l’activité folliculaire, on évite la bascule vers la miniaturisation irréversible. Après 6 à 8 semaines, de nombreux utilisateurs rapportent une chute réduite et l’apparition de nouveaux cheveux plus épais, signe que le follicule retrouve son potentiel.

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